
Il est probable que, dans les années à venir, les agriculteurs auront de plus en plus de difficultés à se procurer des semences issues de la filière sans OGM. La recherche mondiale s’orientant vers les semences transgéniques, il n’est pas impensable que les variétés non OGM finiront par être inadaptées à l’évolution des techniques agricoles, voire obsolètes.

Le consommateur devra se contenter de savoir que l’entreprise ne commercialise ses semences qu’une fois autorisées pour l’alimentation humaine, et qu’elle s’est engagée à « respecter les préoccupations d’ordre religieux, culturel et éthique dans le monde en n’utilisant pas de gènes issus de l’homme ou de l’animal dans [ses] produits agricoles destinés à l’alimentation humaine ou animale ». La nomination récente à la direction de l’EPA américaine d’une ancienne cadre de la firme, Mme Linda Fischer, donne à penser que non seulement le nouveau Monsanto n’est pas hors la loi, mais qu’il veut la faire.Lire l'article intégral "Comment Monsanto vend les OGM ?" par Agnès Sinaï sur Le monde diplomatique
A voir aussi sur les OGM : http://ogmnonmerci.canalblog.com
Le reportage d'Envoyé spécial sur le sujet :
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire